Contenu à ignorer

MON PREMIER BLOGUE À VIE

Ça y est, je me lance, et je prends contact avec mes lecteurs et lectrices avec mon premier blogue à vie.

On se connaît déjà à travers mes romans, mais nous n’avons pas nécessairement eu la chance de vraiment échanger à propos de ce monde fantastique qu’est celui de l’écriture.

Plusieurs d’entre vous me côtoient depuis toujours, mes voisins, mes amis sans omettre les membres de ma famille qui accepteraient difficilement que je les néglige dans mon « premier blogue ».

Il y a également les participants à mes conférences (Croire en ses rêves), les nombreux lecteurs avec qui j’ai discuté au cours des différents Salons du livre auxquels j’ai pris part, sans oublier ceux et celles à qui j’ai remis des signets dans les restaurants ou divers commerces dans l’unique but qu'on me découvre comme auteure (autrice si vous préférez). 

  • Entre vous et moi, certains d’entre eux ont dû me trouver bizarre de me présenter de la sorte, mais je n’ai pratiquement jamais reçu de répliques négatives… sauf 2 ou 3 personnes qui m’ont rabroué en disant : « moi, je ne lis pas » ! Triste pour eux !

Il y a ceux que j’ai rejoints via les réseaux sociaux, groupes de lecture, gens d’ici, mais aussi gens de partout, que ce soit en France, en Suisse, en Belgique ou toutes autres régions francophones.

J’ai même établi de beaux liens d’amitié avec plusieurs d’entre vous.

C’est donc pour continuer à garder contact avec vous tous que j’ai décidé de mettre en place ces rencontres virtuelles, où j’aborderai différents thèmes qui ont trait à l’art littéraire. Je le ferai sans aucune prétention, mais avec tout l’amour que j’ai pour les mots. 

Je souhaite qu’à travers mes récits, vous puissiez découvrir ce métier encore méconnu par la majorité des gens. 

  • Quand vous tenez un bouquin dans vos mains, vous ne pensez sûrement pas à l'individu qui l’a rédigé et encore moins à toutes les heures qu’il y a consacrées.
  • Vous n’imaginez pas le nombre de jours, de nuits, de semaines et de mois qu’il a pris pour créer et faire vivre ces personnages que vous dénichez en tournant chacune des pages.
  • N’y pensez surtout pas… ce qui compte, c’est le plaisir que vous ressentez à chaque fois où vous entrez en contact avec un ouvrage.
  • Si vous êtes un lecteur ou une lectrice assidu(e), ou bien, quelqu’un qui profite de ses vacances au soleil pour dévorer un livre, il vous est sûrement arrivé d'aimer profondément un personnage de roman (Rose ou la tante Fernande dans ma trilogie Sur les berges du lac Brûlé, Tome 1 Le vieil ours) ou détesté, tout autant, certains autres (Ernest Potvin — le père de famille de cette même saga)

pastedGraphic.pngC’est plus fort que moi, j’imagine déjà le sourire des membres de mon lectorat fidèle à la mention de cette référence à ma toute première série. À Sainte-Agathe-des-Monts, dans la ville de mon enfance, bien des gens me demandaient qui étaient le vrai « Vieil ours ». On lui trouvait des ressemblances avec l’un ou l’autres des hommes grognons de la région.  Trop drôle.

Au-delà, de raconter mon parcours pour atteindre ce but, je serai peut-être en mesure de vous insuffler le goût de participer à cette belle aventure que représente l’écriture sous toutes ses formes. 

À mille et une reprises, des gens m’ont dit avoir envie d'écrire, mais ne pas savoir par où commencer. Souvent, on précisait vouloir laisser ainsi un héritage à ses enfants alors que pour d’autres on désirait officiellement le faire dans le but de publier un livre.

J’avais moi aussi ce souhait depuis mon adolescence. Bien sûr, ça me semblait totalement irréel, mais ça faisait partie de mon projet de vie. 

On espère tous trouver l’amour, fonder une famille, avoir une maison, voyager ou autre, mais tout ne se réalise pas nécessairement parce qu’on y pense avec grande envie. 

Jamais je n’ai rangé de côté ce goût de réaliser mon rêve. Fort heureusement, j'y ai cru et j’ai tout mis en œuvre pour y parvenir.

C’est donc bien parti pour une relation particulière avec vous, mes amis des mots, des livres, du papier et des crayons à mine, à l’encre, à petites ou à larges pointes.

On se retrouvera alors sur une base bimensuelle et via mon site web, vous pourrez toujours me rejoindre afin de me faire vos commentaires et me dire s’il y a des sujets que vous aimeriez que je traite au fil des semaines.

Avec le temps, vous me connaîtrez un peu mieux et vous en apprendrez beaucoup sur ce beau et fascinant métier.  

À la prochaine !